lundi 9 janvier 2012

Woodsman - Mystic Places EP



2011 a prit son envol, et ne reviendra pas.
Mais quelle année n'avons nous pas vu passer là.
Une année de révolte, une année de dangers, une année d'attaque nucléaire, une année de scandales, une année...

Mais les mauvais penseurs crient : "c'est l'année du ça a faillit".
Les printemps arabes, ça a faillit réussir.
Le japon, ça a faillit nous tuer.
L'euro, ça a faillit marcher.
Strauss Khan, ça a faillit nous éviter un sale type à la plus haute fonction de l'état.

Oui sale type, à lui et toutes son équipe de raclure de bidet de chiotte, et Choucroute & Cérébrale s'engage dors et déjà à présenter des excuses de faux culs en public dès que cela lui sera demandé, ne serait ce que pour se faire mousser, et ce, bien sur, à contrario de Monsieur François Hollande.
Choucroute & Cérébrale 1, les présidentiables 0.

Quoi qu'il en soit, cette nouvelle année sort de sa coquille plein de bonheur, si on ne pense pas à ce terrible vent qui n'est occupé qu'à nous décoiffer.
Mais c'est la tempête, et elle nous apporte un ouragan de bonheur avec Woodsman.

Comment parler de cette merveille sans passer pour un de ces sites proprets qui chroniquent la plume dans le cul, et s'astiquent la nouille en fin d'année par des classements prétentieux des disques de l'année?
Et bien on ne peut malheureusement pas.
Alors autant le dire avec les mots d'un ado attardé de 15 ans : "putain c'est pas des boloss eux, comment il déchire juste grave ce skeud, genre mais tu prends trop reuch quoi, j'ai juste pas compris c'qui m'arrive".

Car oui jeune débile de jeune qui n'y connais rien, ce disque te prendra par le bras pour t'emmener là où tu n'ose pas aller.
Et surtout que ce méli-mélo bordélique est un véritable délice, et surtout, Dieu merci, rentre dans le lard de tous ces disques de couilles molles pseudo Ian Curtisesque qu'on a vu fleurir tout le long de l'année 2011.
Enfin une bonne claque, enfin un vrai disque.

Seul point noir au tableau, ce disque qui s'arrêtera avant votre plaisir.

Par contre la vie de ma mère, elle pue sa race la pochette

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