mercredi 13 octobre 2010

The Walkmen - Lisbon



« Entre les Strokes et The National » (disait le disquaire).
Hum, et c’est censé intéresser quelqu’un ça ? C’est de cette manière qu’on agiche un auditeur ? En citant la sous culture populaire immonde pour abrutis boutonneux qui se gavent de magasines bientôt morts et qui pensent que Iggy Pop, c’est le mec qui fait la pub pour SFR ?
Parce que The National, bon, encore, OUI, mais The Strokes, ça va pas la tête ?

Cette petite colère gratuite passée, penchons sur le cas des New Yorkais.
Ils sont beaux, ils sont cinq, ils font de belles chansons qui restent à l’oreille, et sont méconnus après pourtant cinq (c’est un club ?) albums très qualitatifs.
Alors qu’est ce qui coince ?

A part la mauvaise fois et un peu d’arrogance, pas grand chose au final:
Car même si le style est un peu « easy listening », passe partout, rock FM, les chansons le font et c’est en rond que nous les écoutons.
Et c’est bon de mettre de l’eau dans son vin aussi, d’écouter des choses plus simples, et the Walkmen est fait pour ça.
Car c’est puissant, c’est fort, c’est de la musique de mec qui sait pleurer ça, et en plus, c’est génial !
Ce groupe sait faire des montées surpuissantes jouées avec délicatesse pour bien emporter (les précédents albums ne sont pas moins bon à ce sujet)
On se sent affalé sur le canapé, dans leur garage, à côté de eux jouant sur des amplis à tubes de la génération précédente (parce que côté son, c’est du sacré boulot).
Eddy Mitchel dirait : C’est du vintage ça !


Bla bla bla...




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