mercredi 4 août 2010

Arandel - In D


« L'album In D pose les bases d'un dogme autorisant exclusivement l'utilisation d'instrument de musique et proscrivant sampler et autres instruments Midi »
Et mon cul, c’est du poulet ?

Ce qui est très frappant chez Arandel (outre l’aspect marionnettisto-anonyme du personnage) c’est la non-utilisation de machines, plugins et autres bordels numériques.
Alors la grande question est : « put### mais comment c’est possible de faire de l’electro planante aussi subtile et soignée, avec plein de sons et bidouillages tellement bon qu’on se dit que ce sont des samples et tout ça ? », la question reste posée.


Quelle que soit la recette de cuisine, l’album permet de grimper dans les hautes sphères de la plénitude, du bien être, de la profondeur de l’être, de voir les objets bouger sans psychotropes (ou alors c'est l'animation du player), de se laisser aller dans un style que l’auteur lui même avoue ne pas maîtriser…

Alors bien sur il faut en parler pour faire bien, le nom de l’œuvre fait référence à un maître fondateur de la musique minimaliste Terry Riley pour son thème « In C », qui inspira tout le grattin de la musique choucroute : The Soft Machine, Gong, Popol Vuh…

En écoute intégrale ici

Jeter un œil dans le merveilleux label
http://www.infine-music.com/

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